Série LAdultère : « Stéphanie » Trompe Johan Mais Pas Que (Partie 26).
Samedi 28 novembre 2020 10 heures
Lors du premier récit, je vous avais expliqué comment je fus à deux doigts de coucher avec Julien notre voisin de camping qui mavait séduite. Toutefois jétais tellement subjuguée par ce jeune trentenaire que jen avais dépassé les bornes en prenant du plaisir sous ses doigts et était allée jusquà lui faire une fellation. Néanmoins, par deux fois, nous nous étions arrêtés juste avant la pénétration.
La semaine de vacances touchait à sa fin, jétais impatiente de rentrer à la maison. Le lendemain était le dernier jour avant notre départ prévu le samedi matin vers 10 heures. Ce jeudi soir, nous avions prévu de diner au restaurant du camping, mon mari avait gentiment demandé à Sylvain et son frère de se joindre à nous. Julien en profita pour nous présenter son amie Samantha. Il ny avait rien à faire, jen étais vraiment jalouse lorsque celle-ci pendant tout le repas, se collait à lui comme une chatte en chaleur.
Un moment, pendant la conversation qui tournait autour des finales des jeux qui se déroulaient le vendredi, Sylvain rappela à Julien quil devait aller au Perthus faire quelques courses. Après que son frère ait demandé à Samantha de ly accompagner, celle-ci refusa catégoriquement, prétextant quelle avait prévu autre chose et quelle était dans limpossibilité de se joindre à lui. Johan, toujours bon samaritain me proposa de laccompagner :
Tu seras quitte de tennuyer et tu en profiteras pour prendre quelques cigarettes.
Mon mari me jetait littéralement dans la gueule du loup, je métais faite une raison et ne voulais plus être tentée par cet homme qui mattirait tant. Afin de ne pas me retrouver seule avec lui, javais dans un premier temps invité Camille à venir avec nous mais celle-ci soffusqua me disant que je la privais de ses dernières heures de vacances avec ses copains et copines. Sous linsistance de Johan javais enfin accepté, je vis à cet instant le sourire de Julien qui ne soccupait plus de sa charmante voisine qui faisait la tête dans son coin.
Voyant que son ami se désintéressait delle, Samantha lui fit une petite scène et était repartie chez elle refusant de passer la nuit avec Julien, pour mon plus grand plaisir. Je ne vous cache pas que lorsque javais une nouvelle fois fait lamour avec Johan, ce fut mon Julien qui était présent dans mes pensées et je métais encore donné corps et âme à mon mari qui était resté stupéfait de mes performances.
Pour ce voyage en voiture au Perthus, je métais vêtue dune jupe courte, dun chemisier blanc à la limite de la transparence. Au début, notre conversation fut courtoise jusquau moment où nous avions abordé notre dernière rencontre qui navait pas abouti. Nous nous étions alors un peu chamaillés comme un jeune couple, lui me reprochant de mêtre enfuie des toilettes, le laissant ainsi sur sa fin. Malgré mes explications, il ne parvenait pas à comprendre mon choix:
javais très envie de poursuivre mais jai eu peur, je navais jamais trompé Johan
Mais tu lavais trompé après cette fellation, cétait déjà trop tard.
jai eu des remords de tavoir laissé, je lai regretté tout de suite.
Puis ce fut à mon tour de le blâmer dêtre revenu cette nuit-là avec Samantha et de sêtre affiché avec elle sans plus me regarder :
Cest vrai, je reconnais mon erreur, Sam ne tarrive pas à la cheville. Veux-tu me pardonner ? Me dit-il en me tendant sa joue.
Voulant se réconcilier, il me demanda de lui faire une bise, je navais pas hésité, je métais penchée et lui fit un énorme bisou. Depuis la veille javais pris ma décision en venant avec lui, je savais que je ne reculerais pas, sil me demandait de faire lamour. Sa main sétait retrouvée sur ma cuisse, je relevai le tissu et je métais rapprochée en écartant les jambes. Sous ma robe, ses doigts glissés sous ma petite culotte, jouaient avec mon intimité, je devenais de plus en plus humide. Ma main aussi se posa sur son entrejambe lorsque la route était sûre, doucement je massais son sexe qui prenait de plus en plus de volume.
Après une vingtaine de minutes à nous attoucher, comme notre excitation était déjà bien élevée, nous nous étions arrêtés sur un parking et à labri des regards, nous nous sommes embrassés puis nous nous étions donné du plaisir mutuellement, dans des caresses très intimes et après avoir joui en nous masturbant, nous avons repris notre chemin en attendant de nous retrouver seuls dans un endroit plus adéquat.
Il y avait beaucoup de monde, nous avions déjà eu des difficultés pour trouver une place de stationnement. Nous avions hâte de faire lamour, pendant les quelques courses que nous avions faites le plus rapidement possible, souvent nous nous prenions la main comme un vrai couple. Puis nous avions déjeuner dans un hôtel restaurant de là-bas, loin de tout, où personne ne nous connaissait, nous pouvions en profiter.
Pendant tout le repas, nous avions fait comme si nous vivions ensemble, nous nous sommes considérés comme deux amoureux, les personnes présentes, le pensaient toutes. Nos mains ne se séparaient que lorsque nous nous régalions des plats régionaux. Caresses, petits baisers et jeu de jambes sous la table faisaient partie intégrante du menu. Je sentais bien que Julien nosait pas faire le premier pas, certainement par peur dun refus de ma part. Au moment du café, je lui proposai de faire une petite sieste crapuleuse :
Tu ne crois pas que nous serions plus à laise pour faire lamour ? Lui demandais-je
Tu es bien sûre de ce que tu veux faire ? Tu ne pourras plus reculer cette fois.
Je le veux Julien ! Jai pris ma décision, je vais te surprendre.
Dans cette chambre, je connus tout son savoir-faire, ses caresses me firent jouir plus dune fois, il mavait apporté sensualité, tendresse et amour. Par contre, je lui avais fait passer un après-midi denfer, je métais libérée et transformée en une amazone morte de faim, javais fait toutes sortes de choses que je ne me permettais pas de faire avec mon mari.
Mes orgasmes furent beaucoup plus violents quavec Johan, lhomme qui partageait ma vie depuis si longtemps. Ce jour-là, après avoir enlevé sa capote pour éjaculer entre mes seins, il venait de tenir plus de trente-cinq minutes à me prendre dans plusieurs positions, je lui avais fait tourner la tête. Il retomba à plat dos sur le lit, je me suis allongée à côté de lui javais la tête sur son torse velu. Nous étions tellement épuisés tous les deux que nous nous sommes assoupis. À mon réveil, il me caressait la poitrine, je maperçus quil nétait pas encore en pleine érection et nous avions tous les deux, envie de remettre le couvert. En regardant son sexe, une idée métait venue, je ne saurais dire pourquoi, je me suis penchée sur sa queue et javais léché tout le sperme séché quil avait sur sa verge puis ma fellation avait fait le reste, son pénis était de nouveau prêt à fonctionné pour mon plus grand plaisir. Javais levé les yeux vers lui et lui dit :
Encule moi Julien.
Quest-ce qui te prend Steph, je ne pensais pas que tu étais si
Oui ! Dis-le ! Salope cest ça ? Avec toi jai très envie de me montrer ainsi.
Il mavait retournée et me fit me mettre à quatre pattes, avait penché son visage sur mon intimité, il ne pensait pas que jétais vierge à ce niveau. Après quelques coups de langue et un doigté en bonne et due forme dans mon anus. Il me dit : « cest bon tes désirs son des ordres » :
Attention Julien cest la première fois prépare-moi avant.
Cette fois, son anulingus fut à la hauteur de lévénement, mon anus fut dilaté tout en douceur, sa langue, sa salive, ma mouille et ses doigts étaient parvenus au résultat escompté. Je nen pouvais plus, jappréhendais mais javais hâte dêtre sodomisée, je voulais lui donner ce privilège.
défonce-moi. Fais-moi jouir, amuse-toi.
Tu le veux ? Et bien je vais tenculer.
Il mavait prise par derrière tout en douceur au début, je métais retenue de crier et au fur et à mesure je métais habituée. Lorsquil mavait pénétré entièrement, ses couilles tapaient mes fesses à chaque allée et venue. Il mavait prise pendant dix minutes tendrement, sa verge droite et raide dans mon rectum, sans brutalité pendant que ses doigts me titillaient mon clitoris. Javais atteint un orgasme fulgurant alors quil navait pas encore éjaculé. Il ne me laissa pas récupéré de ma jouissance, il me retourna et nous avons fait lamour en position du missionnaire. Là encore je jouis une nouvelle fois après ses va et vient un peu plus sauvages. Lorsquil se retira, je ne voulais pas le laisser se vider dans le latex, je métais mise à genoux devant lui et je lui offris ma bouche.
Après avoir pris un peu de repos, nous avions pris la douche ensemble en nous savonnant mutuellement mais nous navons pas pu faire autrement que de finir ce que nous avions commencé dans la mer. Il mavait coincée contre le mur me mis les mains sous ses fesses, mes jambes lui avaient enserré les hanches et mavait prise debout sous leau qui coulait sur nos corps. Cétait nouveau pour moi encore une fois, javais vraiment pris beaucoup de plaisir à refaire une nouvelle fois lamour sous cette douche.
En effet, dans cette chambre dhôtel anonyme, javais vécu de grands moments de sexe que je nétais pas près doublier. Julien fut le seul homme qui mavait sodomisé et sans doute le dernier car je voulais garder dans ma mémoire tout le bonheur quil mavait apporté. Malheureusement, tout a une fin, de retour au camping jétais marquée, pas seulement par la fatigue sexuelle de cette folle après-midi mais par la tristesse de ne plus revoir de ci-tôt mon amant. Je venais de mapercevoir que ce ne fut pas que physique, javais beaucoup de sentiment pour Julien.
Dès notre retour à la maison, Johan sétait aperçu que je nétais plus la même, jétais moins gaie et je mettais beaucoup plus de distance entre nous. Il ne comprenait pas ce quil marrivait, je mourais denvie de lui avouer la vérité mais je ne pouvais pas, javais peur quil ne laccepte pas et je ne voulais pas foutre en lair 18 ans de vie commune pour un adultère qui navait duré que quelques jours. Malheureusement, Julien était toujours dans mes pensées, du matin au soir je pensais à lui, quand je faisais lamour à mon homme, jimaginais être dans les bras de mon amant.
Après six mois, je commençais à refaire surface, ce fut difficile mais jarrivais tant bien que mal à retrouver ma vie dépouse fidèle et aimante. Pourtant un an plus tard, nous étions en vacances en Normandie où nous avions loué une longère avec mon frère. Lors dune balade avec ma belle-sur, nous parlions de nos relations avec nos maris en disant que si lamour persistait, les parties de sexe nétaient plus celles que nous avions connues par le passé.
De-là, javais enchainé et lui avait avouée mon aventure avec Julien et que je ne savais pas sil fallait que jen parle à Johan. Elle me raconta quelle aussi cela lui était arrivé il y avait deux ans. Elle avait rencontré un type tout à fait par hasard au travail et quelle avait couché avec lui pendant une semaine avant quil ne la quitte.
Elle en fut si malheureuse, quelle sétait sentie obligée den parler à son mari et lui avait dit toute la vérité :
Tu sais, je lui fais mal au cur à ton frère, ce fut très difficile pour lui mais peut être encore plus pour moi, javais tellement honte, tu ne peux pas savoir.
Elle avait fini par me dire que pendant plus dun mois, ils ne se parlaient presque plus et quils étaient à deux doigts de divorcer. Il avait fallu quil lui rende la pareille avant que tout sarrange. Depuis ce jour-là, mon frère nétait plus le même, il était beaucoup moins attentionné avec elle et la menaçait souvent de partir dès quune dispute éclatait :
Ne le dis pas à Johan et profite. Sexuellement, jai repris des amants. Jamais rien de sérieux car je ne veux pas mattacher à cause des gosses mais je suis épanouie car avec eux je méclate.
Comment fais-tu avec ton homme ?
Comme dhabitude, cest le train-train et il ne sen plaint pas et moi non plus. Je laime comme ça.
Pour moi, mon avenir était écrit avec Johan et notre fille. Pourtant, depuis la discussion avec ma belle-sur dont jai suivi ses conseils, en un an javais déjà trompé mon mari une dizaine de fois en couchant avec des parfaits inconnus, des plus jeunes principalement. Pour ma part, je dois trouver le physique de mon amant à mon goût. Je ne fais pas lamour avec eux, je ne les aime pas, je baise. Je prends du plaisir en me transformant quelques instants en véritable salope ce qui décuple les forces de son amant.
Tout avait débuté un lundi soir, le jeune livreur intérim dà peine trente ans venait dans notre entreprise pour la première fois. Je lavais vraiment trouvé mignon et je vis quil navait pas cessé de me regarder sans oser maborder. Lorsquil me fit signer le bordereau de livraison, je lui avais demandé si je lui plaisais. Surpris, il mavait regardé sans rien dire mais en faisant un signe de la tête, javais tout de suite compris que je ne métais pas trompée.
Avant quil ne referme les portes arrières de sa camionnette, je suis montée à lintérieur et lavait tiré par la manche. Ce fut bref et intense, après une savante fellation, ce garçon bandait comme un cerf. Je métais couchée sur les cartons, avait remonté ma jupe et lui dit :
Lèche-moi et encule-moi.
Le jeune homme était aux anges, après cet anulingus, javais joui comme une folle après cette sodomie pendant laquelle je métais masturbée. Ce fut vingt minutes de pur bonheur. Linconnu, limproviste, le lieu insolite, leffet de surprise, augmentent dautant plus le désir et le plaisir et diminuent les risques dêtre découverte par son mari.
Ces rencontres éphémères me laissent aller à des tromperies sans lendemain, j'ai l'impression de reprendre ma vie en main, de retrouver mon pouvoir de séduction et de l'exercer pleinement. Pendant ce moment où je suscite l'intérêt d'un homme autre que Johan, je vibre, je me transcende. Par expérience, je peux dire que ces relations adultères équilibrent ma vie sexuelle. Avec mon mari nous faisons lamour car nous nous aimons, ce qui me permet de rester celle que je suis : une femme aimante mais à la fois une séductrice.
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Stéphanie, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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